Logement secondaire de Stéphane Fovrai

par **Stéphane Fovrai** Mar 28 Sep - 14:39

Plan du logement à Londres :

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Photo depuis la rue :

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Description :

Composé d'une chambre, d'un bureau, d'un salon et d'une salle d'eau, ce petit studio n'apporte qu'un toit et un lit et n'est en aucun cas utile pour la détente et la vie de tous les jours. L'asbence de cuisine nécessite l'achat de produit frais aux abords du parc lors de marché, de la boulangerie et d'une petite épicerie se trouvant dans la même rue que ce studio. Au rez-de-chaussé se trouve le salon et le bureau par lequel on accède par une porte dérobée. A l'étage se trouve la chambre et la salle d'eau. La chambre bien que petite est occupé d'un grand lit accompagné de deux tables de chevets, et d'une armoire qui se fond dans le mur. Le salon lui est plus spacieux est est meublé d'un canapé trois place, d'un fauteuil et quelques tableaux accrochés au mur représentant la tour Eiffel, le manoir français de Stéphane, et quelques peintures d'impressionistes français. La salle reste commune à toute salle d'eau, ne regroupant qu'une douche et un lavabo. Des fenêtres se trouvent dans le salon et le bureau, une autre dans la chambre. Une cave aussi est présente en sous-sol, mais l'accès y est aussi bloqué. Le bureau du studio comporte un grand bureau à tiroir, un classeur, une table sur laquelle sont éparpillés plusieurs documents et livres, et une bilbiothèque déboradant de livres. Cette pièce est fermée à clé et protégé par une alarme et repousse-moldu.

Occupant : Stéphane Fovrai

par **Persephone Snape** Mar 28 Sep - 23:55

Lorsque Persephone ouvrit les yeux elle se rendit compte qu’elle était roulée en boule sous une couette. Il fallut un moment à la rouquine pour remettre ses idées en place et se souvenir des évènements de la veille. Elle avait passé la soirée avec Stéphane, elle avait diné avec lui puis l’avait accompagné jusqu’à son club de duel et…avait finit par s’endormir. Elle se frappa le front. Elle était bonne pour se rattraper après ce « geste ».
Après quelques minutes en rester sans bouger, la jeune femme daigna sortir la tête de sous les couvertures. Vu le calme qui régnait dans la pièce elle était seule. Elle s’assit sur le lit en soupira, puis se passa la main dans les cheveux. La demoiselle se trouvait dans une pièce meublée de façon assez simple, c'est-à-dire un lit flanqué de deux tables de nuit et en face, une armoire encastrée. Pers’ sorti finalement du plumard en poussant la couette à grands coups de pied. Une fois debout elle ouvrit le store et regarda à l’extérieure. La rue était totalement morte et il faisait plutôt gris. Un petit coup d’œil à sa montre lui indiqua qu’il était 6 heures du matin.

*la vache je me lève comme les poules…*

Elle haussa les épaules et entreprit de refaire le lit. Quand elle eut finit, elle attrapa ses chaussures et enfila son gilet qui se trouvait aux pieds du lit. Elle se faufila jusqu’à la porte et l’ouvrit avec le plus de précaution possible pour qu’elle ne fasse pas trop de bruit. La jeune Snape déboucha dans un petit couloir menant aux escaliers. Sans bruit elle descendit les marches et stoppa en bas pendant un moment histoire d’écouter les bruits de la maison. Une respiration lente et régulière lui parvint, elle la suivit et atterrit dans ce qui, visiblement servait de salon. Stéphane était endormi sur le canapé se qui fit sourire la rouquine, visiblement la galanterie de ce type n’avait pas de limite. Elle retourna dans le couloir, déposa ses chaussures à côté de ses paquets et prit son calepin et un stylo dans son sac à main. Elle écrivit quelques mots sur une page du petit cahier :

« Merci beaucoup pour tout, j’ai passé une agréable soirée. Je m’excuse de m’être endormie…je vous promets que ça ne se reproduira pas.

Sincèrement, Pers’

P.S : voici mon adresse 9Hazel Road, Chester, comté de Cheshire »

Elle déchira le feuillet et retourna la déposer sur la table basse puis quitta la pièce en prenant soin de pousser la porte. Toujours sans un bruit, elle enfila ses bottes, ouvrit la porte d’entrée, attrapa ses achats de la veille ainsi que son sac à main puis sortie dans la rue encore endormie. Avec la plus grande précaution elle referma la porte puis descendit les marches du perron. Ses talons résonnaient sur les escaliers en pierre. Un vieil homme qui promenait son chien lui adressa un bonjour. La jeune sorcière en fit autant. Elle redescendit la rue dans laquelle habitait Stéphane pour pouvoir gagner la rue principale. Une fois sur Marylebone Road elle traversa en direction de Regent’s Park et entra dans le square. A cette heure si matinale il n’y avait pas un chat dans les allées, cependant Pers’ alla s’abritait derrière un arbre pour pouvoir transplaner jusqu’à chez elle sans risquer d’être vu.

par **Stéphane Fovrai** Mer 29 Sep - 0:36

- Là, il est là !!! Attrapez-le ! Stupefix STUPEFIX !!!

Stéphane sauta par-dessus le muret qui séparait la maison d'un sorcier de la brigade de la police magique. C'était un piège. Une vingtaine de sorciers lui courraient après cherchant à l'arrêter. Se redressant pour fuir les lieux, il sentit soudain une douleur lancinante dans la nuque, les policiers arriverent sur les lieux. Puis le froid. Le cercle polaire ? Il faisait si froid, mais la région ressemblait plutot à des montagnes. Soudain un grand fracas se fit entendre et trois géants jaillirent d'une crevasse et le pourchasserent en agitant leurs masses constitués de haut-sapins. Les géants lui courraient après, et quand il se retourna pour combattre les créatures, il se rendit compte que ce qui le pourchassait était Persephone, elle n'était qu'à quelques centimètres de lui face-à-face, son visage se rapprocha de plus en plus, il ferma les yeux attendant le contact attendu, mais ne sentant rien, les rouvrit pour oir face à lui le visage d'Evans Dablord.

- Tu m'as TRAHIT !!!!

...

Stéphane sursauta. Il était dans le canapé de sa maison, se redressa et se calma, ce n'était qu'un rêve. Une fois cinq minute passé, il prit sa baguette et fit apparaitre un verre remplie d'eau qu'il but pour se calmer. Il décida d'étudier ses rêves comme il l'avait appris en cours de divination il y a bien longtemps. Il était clair que la crainte de se faire pièger en permanence était signalé par sa poursuite par la police magique. Le coup dans la nuque, devait être dû au fait qu'il s'était endormi tête contre l'acoudoir, position douloureuse pour la nuque. Ensuite le froid, là aussi sa simple couverture n'avait pas suffit à le tenir au chaud. Mais les géants signifiait bien qu'il devait prendre des nouvelles de ses envoyés pour savoir comment se déroulait la prise de contacte et les accords. Enfin, l'apparition de Persephone n'était pas innocent, et le fantôme d'Evans le hantait déjà depuis quelques temps.

Stéphane entendit du mouvement à l'étage, la rouquine devait être réveillée, mais elle ne devait pas rester, il fallait qu'il aille demander une subvention au ministère de la magie, mais aussi résoudre ses affaires "personnelles" ou "de famille". Se remettant sur le canapé en se couchant, il attendit que la demoiselle passa la porte, chose qu'elle fit après avoir déposé un message. Sentant le courant d'air se terminer, la porte certainement fermé, Stéphane revint en position assise et lu avec un sourrire, mais tristesse le message de la jeune femme. Il voulait tant la rattraper, mais son projet ne pouvait pas passer au second plan, la mission avant-tout.

Stéphane envoya un message à son réseau de communication où il donna toutes les directives ordonnant une nouvelle complète dans la soirée. Son réseau était certes organisé, mas trop grand et encore trop petit pour agir confortablement, il fallait tout controler. Une fois le message envoyé, Stéphane se leva pour sortir dans la rue et prendre un petit déjeuner. Une fois cela fait, il décida d'aller enfin au ministère, le club devait avoir plus de subvention pour participer à un concours international.

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